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Fedor Dostoïevski
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L'Idiot. Tome 2 / Th. Dostoïevsky ; Traduit du russe par Victor Derély ; précédé d'une préface par le Vte E. Melchior de Vogüé Date de l'édition originale : 1887 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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Extrait : Je suis revenu de mon absence de deux semaines. Les nôtres étaient depuis trois jours à Roulettenbourg. Je pensais qu'ils m'attendaient avec Dieu sait quelle impatience, mais je me trompais. Le général me regarda d'un air très indépendant, me parla avec hauteur et me renvoya à sa soeur. Il était clair qu'ils avaient gagné quelque part de l'argent. Il me semblait même que le général avait un peu honte de me regarder.
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L'acte fondateur du roman est le meurtre de la vieille usurière, dans un immeuble de Saint-Pétersbourg, par l'étudiant Raskolnikov : sa réflexion sur le mobile du crime, l'influence de Sonia ou une mystérieuse puissance intérieure poussent le héros à se dénoncer et à devenir l'objet d'un châtiment librement consenti. C'est pendant les années de bagne que se révèle à lui son amour pour Sonia, et le chemin de la rédemption.
Publié il y a 150 ans, "Crime et châtiment" est l'un des plus grands romans de Dostoïevski. La magistrale traduction d'André Markowicz lui restitue toute sa force. -
Il y a d'abord le père, Fiodor Karamazov, concentré de vilenie et de luxure, et il y a ses trois fils, écrasés par la figure paternelle fascinante et repoussante : Mitia, l'aîné colérique et jaloux, rival en amour de son père ; Ivan, l'intellectuel au bord de l'hystérie, tenté par le diable ; et le cadet, Aliocha, être pur tourné vers la foi. Quand cette drôle de famille se réunit, c'est comme si son énergie destructrice décuplait. Et l'irréparable arrive : le parricide. Qui a tué le monstre ? Ce crime, est-il libération ou condamnation éternelle ?
Oeuvre immense et terrifiante, le dernier roman de Dostoïevski sublime l'universel dialogue entre le bien et le mal.
Nouvelle traduction du russe par Emma Lavigne.
PRÉFACE INEDITE de Serge Rolet, Professeur de littérature et civilisation russes à Lille 3. -
Journal d'un écrivain
Fedor Dostoïevski
- Gallimard
- Les Classiques Russes
- 30 Octobre 1934
- 9782070219704
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Impression en " gros caractères ". "La nuit était merveilleuse, - une de ces nuits comme notre jeunesse seule en connut, cher lecteur. Un firmament si étoilé, si calme, qu'en le regardant on se demandait involontairement : Peut-il vraiment exister des méchants sous un si beau ciel ? - Et cette pensée est encore une pensée de jeunesse, cher lecteur, de la plus naïve jeunesse. Mais puissiez-vous avoir le coeur bien longtemps jeune."
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Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il est capable d'analyses psychologiques très fines. Après avoir passé sa jeunesse en Suisse dans un sanatorium pour soigner son épilepsie, il retourne en Russie pour pénétrer les cercles fermés de la société russe, sans sou ni attache, mais avec son titre de noblesse et un certificat de recommandation en poche. Il se retrouve par hasard mêlé à un projet de mariage concernant Nastassia Filippovna, jeune femme très belle, adulée par un grand nombre de soupirants, mais dont le seul amant est Totzky, son tuteur de 55 ans qui l'a élevée et en a fait sa maîtresse dès la petite adolescence...
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Souvenirs de la Maison des morts
Fedor Dostoïevski
- Gallimard
- Les Classiques Russes
- 18 Mai 1936
- 9782070219773
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Il s'agit de la publication des 17 nouvelles que Dostoïevski (1821-1881) a publiées de 1846 à 1877. Ces textes, moins connus que les grands romans de l'auteur, sont pour certains des chefs-d'oeuvre, comme Une sale histoire, Une femme douce ou les Notes d'un souterrain. Ils permettent de découvrir l'univers littéraire et philosophique de l'auteur, et même sa veine comique, depuis les premières nouvelles où Dostoïevski écrit sous l'influence de Gogol et où il s'attache à mettre en scène de petites gens, jusqu'aux nouvelles extraordinaires que l'auteur écrivit après son retour du bagne. Certains de ces textes sont d'une telle puissance qu'ils ont été adaptés au théâtre ou au cinéma. Dostoïevski s'oppose au rationalisme (« deux fois deux cinq est une charmante petite chose parfois », dit l'homme du souterrain), il exprime sa perplexité face aux soi-disant réformateurs, incapables de « tenir » le coup face au renouveau de la société russe après l'abolition du servage en 1861 et qui ne font que mettre les pieds dans le plat. C'est tout le monde russe de son temps que l'on découvre dans ces textes plus abordables que les grands romans, grâce à leur concision : on passe de l'aristocratie au peuple miséreux, des croyances populaires à l'utopie, de la simple mise en scène d'une centenaire, d'un moujik ou d'un petit garçon, à l'univers de la haute société. La traduction de Bernard Kreise, au plus proche du texte original, a été entièrement revue et retravaillée pour cette nouvelle édition
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Crime et châtiment : les frères Karamazov
Fedor Dostoïevski
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 16 Septembre 2021
- 9782072950346
Crime et châtiment est le premier des cinq grands chefs-d'oeuvre qui rendront Dostoïevski immortel. Il ne l'écrivit qu'en 1865, mais il en avait eu la première idée douze ans plus tôt, alors qu'il était au bagne. Il songeait alors à un roman dans lequel un de ces êtres forts, dont l'existence l'étonnait, qui ignorent les bornes du bien et du mal, écrirait sa confession. On sait que Dostoïevski, condamné à mort, fut grâcié et fit quatre ans de bagne. Cette terrible expérience, si elle eut une influence sur toute son oeuvre, n'est jamais aussi manifeste que dans les textes qu'on a réunis dans ce volume. On y trouvera, en effet, outre Crime et châtiment : le Journal de Raskolnikov, Les Carnets de Crime et châtiment et Souvenirs de la Maison des Morts, ouvrage que Tolstoï qualifait de «plus beau livre de toute la littérature nouvelle, Pouchkine inclus». Dans Les Frères Karamazov, Dostoïevski a donné le résumé de sa carrière et de sa pensée. On y retrouve l'opposition père et fils de L'Adolescent, le duel de l'athéisme et de la sainteté des Possédés, le schéma de L'Idiot, avec le crime à la base et l'entrevue dramatique des deux rivales ; enfin et surtout l'un des frères, Aliocha, est la reprise du prince Mychkine : il s'appelait «l'Idiot» dans Ies brouillons. Il semble même que Dostoïevski ait voulu exprimer dans les trois frères les trois aspects de sa personnalité ou les trois étapes de sa vie : Dimitri le schillérien rappelle sa période romantique, terminée aussi par le bagne ; Ivan, les années où il était près de remplacer la foi chrétienne par le socialisme athée ; Aliocha, son aboutissement, le retour au peuple russe et à l'orthodoxie. Sous quelque angle qu'on les considère, Les Frères Karamazov sont un microcosme aux richesses inépuisables, le chef-d'oeuvre peut-être de Dostoïevski.
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Veltchaninov, tout occupé à une affaire juridique, repère pourtant un homme étrange, et qu'il ne cesse de croiser. Jusqu'à ce que l'homme vienne frapper à sa porte, en pleine nuit, et que Veltchaninov reconnaisse celui qui, neuf ans auparavant, était le mari de sa maîtresse. La femme est morte, mais le mari ne peut se défaire de la fascination qu'il éprouve pour l'ex-amant...
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L'idiot ; les carnets de l'idiot ; humiliés et offensés
Fedor Dostoïevski
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 31 Mars 1953
- 9782070101764
Humiliés et Offensés fut achevé en revue en 1861. L'Idiot commence en 1868. On mesurera quels progrès, dans l'espace de ces sept années, Dostoievski a accomplis. Rien ne rapproche en apparence ces deux romans ; mais le premier porte déjà en germe tout ce qui fera l apuissance et l'originalité de Dostoïevski. Quant à L'Idiot, c'est selon Pierre Pascal (à qui l'on doit l'introduction de ce volume) «une solution provisoire de Dostoïevski au problème de l'homme bon. D'autres solutions sont en germe, qui se développeront plus tard». Notamment dans Les Frères Karamazov. La pensée de Dostoïevski n'est jamais restée immobile. À l'époque d'Humiliés et Offensés, elle est frappée par l'impuissance des vertus naturelles, des beaux sentiments, des utopies sociales en face du mal. Dans L'Idiot, le romancier revient à l'utopie, mais une utopie chrétienne : le salut ne peut être que dans un Christ présent parmi nous. Le chemin parcouru est immense. En même temps le roman-feuilleton-mélodrame est devenu un roman-tragédie-mystère.
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Les démons ; carnets des démons ; les pauvres gens
Fedor Dostoïevski
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 25 Avril 1955
- 9782070101771
Les Démons de Dostoïevski, dont certaines éditions françaises ont pour titre Les Possédés, est, selon Pierre Pascal, «le roman le plus dostoïevskien de Dostoïevski, au sens inquiétant du terme». Dans l'introduction qu'il a consacrée aux Démons, Pierre Pascal dit encore : «Ce livre s'insère profondément dans la pensée de son auteur. Il reflète l'épouvante de Dostoïevski devant l'avenir de la Russie. Il est plein comme toujours d'actualité et d'autobiographie. Nous pouvons d'autant mieux nous en rendre compte que nous en connaissons parfaitement la genèse grâce aux matériaux conservés dans les Carnets.» On trouvera ces volumineux Carnets à la suite du roman. Le présent volume enfin se clôt par un roman épistolaire de Dostoïevski : Les Pauvres Gens.
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Scandaleuse histoire
Fedor Dostoïevski
- Ginkgo
- Petite Bibliotheque Slave
- 6 Décembre 2023
- 9782846795531
Le célèbre écrivain russe Alexeï Remizov (1877-1957) , émigré à Paris après la Révolution russe, laissa derrière lui quelques formidables traductions, souvent faites en collaboration avec son ami Jean Chuzeville.
L'une des plus belles et étonnantes de ces traductions est celle de « Scandaleuse histoire » (aussi connu en France sous le titre « Une sale histoire ») de Dostoïevski. parue en 1945 aux éditions des Quatre Vents, avec de sublimes illustrations de Georges Annenkoff.
Scandaleuse histoire est un des récits les plus drôles de ce maître de l'humour qu'était aussi - on l'oublie parfois - Dostoïevski. Peu avant l'abolition du servage en Russie en 1861 et en pleine période de réformes, un haut fonctionnaire d'État, Ivan Pralinsky, jeune et plein d'idéaux, dîne avec deux collègues plus âgés. Le vin l'échauffe : il faut "aller vers le peuple", il faut mettre en oeuvre "l'humanitarisme vis-àvis des subordonnés" qui adoreront en retour leurs supérieurs. Sur le chemin de retour vers chez lui et alors que son cocher l'a planté, il apprend que non loin a lieu la fête de mariage d'un des ses subordonnés, Pseldonimov. Est-ce un signe du destin qui le pousse à appliquer ses idées ? Qu'à cela ne tienne, il va s'inviter à la noce. Tous salueront sa présence, tous l'écouteront, tous tomberont en adoration devant lui, devant sa bonté et sa grandeur d'âme. Mais rien ne va se passer comme prévu...
Critique des bons sentiments et des idéaux détachés des réalités, Scandaleuse histoire est un des textes les plus actuels et mordants de Dostoïevski, et les somptueuses illustrations d'Annenkoff en soulignent l'irrésistible drôlerie. -
L'histoire d'une jeune orpheline amoureuse de son beau-père - violoniste génial et alcoolique - puis attirée par la fille de l'homme qui finalement la recueille et l'éduque. Peu à peu, au gré de sa vie chaotique, se révèle sa passion pour le chant.
Pour la première fois, Dostoïevski se tourne vers l'enfance, le moment où commencent le processus de l'aliénation et la germination de la révolte. Pour la première fois, il veut analyser le mystère de l'homme dès son origine, dans sa totalité, prendre l'être humain à sa naissance spirituelle, au temps de l'enfance, lorsque tout est possible. Nétotchka Nezvanova, publié en 1849, préfigure les futurs grands romans.
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Notes d'un souterrain
Fedor Dostoïevski
- Belles Lettres
- Domaine Etranger
- 12 Janvier 2024
- 9782251455068
Les Notes d'un souterrain, où « on trouve au travail un être souterrain, de ceux qui forent, qui sapent, qui minent... » dit Nietzsche, est un texte essentiel de Dostoïevski, une oeuvre-clef qui permet de comprendre le génie de l'écrivain et les préoccupations de l'homme qui trouvent un écho si puissant à notre époque. Lorsqu'il découvre ce texte, Nietzsche s'exclame : « L'affinité instinctive a parlé tout de suite ; ma joie a été extraordinaire. Il me faut remonter jusqu'à ma rencontre avec Le Rouge et le Noir de Stendhal pour me souvenir d'une joie pareille ». Les nouvelles de la seconde période de Dostoïevski, à son retour à Saint-Pétersbourg après son exil en Sibérie, sont imprégnées de ses idées politiques, et Camus l'a bien saisi lorsqu'il écrit : « On a longtemps cru que Marx était le prophète du XXe siècle. Nous découvrons que le vrai prophète était Dostoïevski. Il a prophétisé le régime des grands Inquisiteurs et le triomphe de la puissance sur la justice ».
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La légende du grand inquisiteur
Fedor Dostoïevski
- Desclee De Brouwer
- Les Carnets Desclee De Brouwer
- 12 Octobre 1993
- 9782220034232
Comme le dit Nicolas Berdiaev, la Légende du Grand Inquisiteur, c'est le sommet de l'oeuvre créatrice de Dostoïevski, le couronnement de la dialectique de ses idées. Dès la parution de la Légende dans les Frères Karamazov, les penseurs russes ont saisi la portée du mythe dévoilé par Dostoïevski, aussi bien pour son oeuvre que pour la conscience humaine en général. Ce dilemme aigu entre le salut individuel et la masse, entre liberté et contrainte, n'est-il pas le fond même de la condition humaine ? Plus qu'à la forme littéraire, ces textes s'attachent au contenu de l'énigmatique fable de Dostoïevski. Méditations sur l'utopie et l'anti-utopie, sur le problème du mal dans l'histoire, ils s'efforcent d'élucider des visions qui deviendront des questions essentielles du XXe siècle : la relation entre l'unicité de l'individu, la masse et le pouvoirLe lecteur voit au travers de cet ensemble de contributions combien l'oeuvre de Dostoïevski est importante dès son vivant, mais aussi combien la richesse et l'intensité de ses idées orientent la lecture, dans les années qui suivent la parution de l'oeuvre, vers des interprétations philosophiques et spirituelles. Ce recueil qui, à la suite du texte original, réunit les textes de six grands philosophes, théologiens et critiques littéraires russes, apporte une contribution capitale à la compréhension métaphysique du grand écrivain. Il permet de suivre de près la manière dont s'est élaborée, au cours des décennies qui ont suivi sa mort, la perception de ses oeuvres en Russie. Il montre aussi toute la fertilité et la profondeur de la philosophie russe et de la théologie orthodoxe, largement ignorées en Occident --Ce texte fait référence à l'édition Broché.